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Olivier

Le Gers par Nature

By Presse

par Évasions Bordelaises
Voyages & Escapades au départ de Bordeaux

Ce fut une année où nous ne pouvions voyager qu’en France. Certains y voyaient une contrainte, nous une opportunité. Celle de redécouvrir notre territoire en sachant bien que les frontières rouvriraient un jour. En plus, nous n’avions pas la force de partir très loin et souhaitions éviter la foule estivale. N’oublions pas que la France est le premier pays touristique au monde ! Faute à qui ? Aux français bien sûr, car nous sommes les premiers à découvrir nos belles régions.

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La démocratie des abeilles

By Brève

Les abeilles ont des capacités et une volonté incroyables de communication entre elles ! Cela va leur permettre de prendre des décisions collectives cruciales pour leur bien-être au quotidien : choisir leur champ nectarifère, le lieu d’installation d’une nouvelle colonie, et même le type de cellules à créer pour donner vie à un certain type d’abeille (ouvrière, faux bourdon ou reine) !…

Si nous prenons l’exemple du choix d’un nouveau logis, les abeilles vont d’abord évaluer les capacités d’accueil de ce qu’elles vont découvrir : un abri suffisamment spacieux, à l’abri du vent, de l’humidité… Elles vont ensuite se lancer dans une “campagne résidentielle” pour convaincre le groupe.

Les abeilles ont conscience de leurs besoins et agissent en conséquence.

En mai 2022, les citoyen.nes que nous sommes seront invité.es à faire des choix pour le mieux-être de notre ruche ! Pour activer l’intelligence collective à notre portée, se relier est un des chemins les plus simples, joyeux et efficaces ! Comment ? En partageant et en t’exprimant ! Quelles sont tes astuces, lectures, conférences, vidéos, usages… qui te permettent de te forger, pas après pas, une opinion, d’éclairer tes décisions ?! Tu peux cliquer ici, les premiers partages sont déjà en commentaires au travers de ce post coopératif !

Nous en ferons un résumé pour en partager la substance dans notre prochaine lettre d’info. Et si tu n’as pas de réseaux sociaux, nous relaierons les partages que tu souhaites faire (envoie-les ici : sepale@artpiculture.org).

Tentons de devenir des éco-citoyen.es toujours plus épanoui.es !

Accéder au post coopératif

Ce n’est qu’un au revoir

By Brève

« Après quatre années au sein d’Artpiculture, je m’envole pour concrétiser d’autres projets.

Si nous nous sommes croisés lors d’un atelier, j’espère avoir suscité votre intérêt, fait évoluer votre regard, stimulé votre curiosité, accompagné votre émerveillement envers les trésors vivants qui peuplent nos parcs, nos jardins, nos cours d’écoles et parfois nos maisons.

Je laisse ma place à Célia avec qui vous pourrez continuez à cultiver tout cela ! 
Quant à moi je m’en vais voguer vers de nouvelles aventures au sein du Syndicat Mixte de l’Adour Amont.
Au plaisir de nous recroiser au fil de l’eau ! »
Augustin

Bienvenue à Célia !

By Brève
« Bonjour,
J’ai toujours été très proche de la nature et j’ai souhaité partager cette passion avec le monde qui m’entoure. Animatrice de formation, les idées ne me manquent pas !
Nature et bienveillance sont les guides dans cette équipe, que j’ai le plaisir de rejoindre pour pouvoir réaliser, avec vous, des ateliers permettant de découvrir la nature riche qui nous entoure.
J’ai pour projet de développer de nouveaux ateliers pour vous permettre de redécouvrir la nature autrement. J’espère vous rencontrer très vite dans les ateliers ! »
Célia

Quatre jours pour embarquer vers le Zéro Déchet

By Edito

du 29 septembre au 2 octobre 2021
L’objectif de ce festival est de faire découvrir des solutions pour réduire nos déchets au quotidien, en toute convivialité et par tous les moyens (ou presque !), que ce soit le sport, la culture ou le bricolage. Ce ne sont que des exemples : parcourez le programme, soyez curieux et de belles découvertes seront au rendez-vous !

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Qu’allez-vous butiner le dimanche 27 juin ?

By Brève

Une fois n’est pas coutume, nous nous laissons embarquer par l’actualité du moment pour cerner les enjeux des élections en cours.

Nous connaissons souvent les principales compétences des Départements : action sociale, collèges, voirie… quant aux Régions, elles agissent en particulier en faveur du développement économique, social, sanitaire, culturel et scientifique.

Nous étions en train d’en discuter en équipe au sein d’Artpiculture et nous sommes tombés sur une osmie rousse sortant d’une cavité qui nous a interpellés.

L’osmie : Qu’avez-vous butiné le week-end dernier, où étiez-vous ?
Artpiculture : La météo était idéale, nous en avons profité pour nous balader en montagne.
L’osmie : Très bien, j’en suis fort aise, mais vous qui êtes amoureux de la nature, avez-vous contribué à polliniser certaines idées en les soutenant par votre vote ?
Artpiculture : Oui bien sûr, même s’il est parfois plus facile de se repérer sur une carte que dans l’ensemble des programmes de nos candidats…
L’osmie : Et bien parlons-en ! Savez-vous que vos Départements sont compétents en matière d’espaces naturels sensibles, d’espaces agricoles et naturels périurbains, ainsi que dans les domaines de l’eau et des milieux aquatiques et marins ?
Artpiculture : Effectivement, vous êtes bien renseignée !
L’osmie : Vos Régions ont également un schéma directeur pour la politique environnementale qui permet une approche transversale sur plusieurs thématiques : énergie, déchets, air, intermodalité des transports, habitats, foncier…
Artpiculture : Nous avons bien remarqué que tous les candidats aux régionales abordent la question de la transition écologique.
L’osmie : Mais regardez bien où ils placent le curseur ! Selon les propositions, l’impact sur les abeilles et le reste de la biodiversité ne sera pas du tout le même. Vos choix auront un impact sur nos vies… et les vôtres !

Sur ce, l’osmie s’envole. Nous en profitons individuellement pour réfléchir à nos aspirations de demain et pour les comparer avec les différents programmes. Et vous, quelles sont-elles ? Quel vote allez-vous faire pour les rendre possibles ? Merci de votre vote à venir !

Confiner le naturel, il revient aussitôt !

By Brève
Un vent de liberté accompagne la fin de ce mois de mai, avec la levée progressive des restrictions. Il est temps de se retrouver, de recultiver la légèreté de vivre, de reprendre conscience du bonheur d’être avec d’autres, quelles que soient nos différences.
 
En reconnaissant l’autre, nous reconnaissons la biodiversité de la nature humaine, c’est un premier pas vers la coopération. Avec nos ateliers, nous vous offrons des occasions de nous retouver autour de la thématique de l’environnement, et aussi de nous ouvrir aux autres et de prendre conscience des richesses humaines de nos territoires. Les défis que nous devrons affronter dans les années à venir seront à notre portée si les forces humaines s’associent.
 
Selon des spécialistes, cette période nous a également permis de prendre conscience de la beauté de la nature et de ses bienfaits. Les confinements successifs et nos changements de rythme ont laissé plus de place à la contemplation de nos coins de nature environnants, contribuant à faire évoluer nos regards. Conséquence : nous aspirons à maintenir vivante cette relation à la nature. Artpiculture souhaite accompagner le plus grand nombre dans cette voie ! Vous pouvez piocher dans nos ateliers ou évoquer autour de vous les actions que nous menons.
 
Et, cette année encore, la nature environnante nous tend particulièrement les bras pour nous y promener. Chatouillons quelques idées reçues… puis-je paisiblement déposer mes restes de pique-nique pour les donner aux animaux ? Comment sortir des sentiers ? Pour répondre à ces questions et bien d’autres, voici un premier lien bien complet, et un second sur un ton volontairement plus humoristique. Vous avez appris des choses ? Partagez ces liens avec vos contacts !
Dans la nature, nous sommes les invités de la faune et de la flore : faisons passer l’invitation avec conscience et respect !

Mettre des ruchers au cœur des pratiques de gestion des espaces verts !

By Brève
Chez Artpiculture, nous sommes persuadés qu’une ruche est un véritable outil de sensibilisation : petits et grands s’y rassemblent pour découvrir le monde fascinant des abeilles et leur rôle clé pour les écosystèmes, l’agriculture et donc notre alimentation.
 
Depuis deux ans, la Ville de Pau fait appel à l’association pour initier des agents des espaces verts à l’apiculture, dans l’idée de créer un à deux ruchers municipaux. Deux journées de formation sont programmées prochainement. Cette action s’inscrit dans un plan global de préservation de la biodiversité. En parallèle, les agents des espaces verts mènent des actions de gestion différenciée : fauche tardive, espacement des tontes, utilisation de semences locales, installation de plantes mellifères… Il s’agit également de développer le lien à la nature des palois en faisant de nouvelles propositions de découvertes sur des lieux bien connus.
 
Des études montent que la mortalité des abeilles urbaines est quatre fois inférieure à leurs homologues rurales (le taux de mortalité en campagne variant entre 30 et 40% contre 5 et 10% en ville).. La raison ? Peu ou pas de pesticides en ville grâce à la politique du « zéro phyto ». La diversité des fleurs, proposant une floraison étalée sur presque toute l’année, est également un atout.
 
Rappelons que côté champs, la situation est loin d’être satisfaisante. Récemment, quatre ONG ont déposé un recours en annulation devant le Conseil d’État contre l’arrêté autorisant provisoirement l’utilisation de néonicotinoïdes sur les semences de betteraves sucrières. Ces insecticides « tueurs d’abeilles » sont dans ce cas utilisés de façon préventive en enrobage de semences, alors que le droit européen ne les autorise qu’en cas d’urgence. Souhaitons que la politique agricole de la France permette de donner aux agriculteurs les moyens d’une réelle transition agro-écologique (cf. tribune publiée dans Libération) !

Rien à jeter dans le Festival Zéro-Déchet

By Presse

La Nouvelle République des Pyrénées – 21/04/2021
« Les déchets, quels déchets ? On a tendance à les banaliser, on remplit nos conteneurs, des camions les collectent, et le tour est joué… « Sauf que ça a un coût », glisse Rémi Carmouze, le président du Symat,  » les normes de plus en plus exigeantes et les taxes font que le coût du traitement est de plus en plus élevé. » Une tendance qui n’est pas près de s’inverser… « De fait, le meilleur déchet, c’est celui qui n’est pas produit », ajoute Nicolas Pérez, spécialiste de la prévention au Symat… »

artpiculture-puce Lire la suite…

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